6/5/2025
Métiers du sport
Spoiler : maîtriser Photoshop ne suffira plus, même s'il reste indispensable.
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Le sport business en 2025 ? C’est une mêlée bien plus stratégique que spectaculaire. Derrière les tribunes pleines et les stories Instagram bien léchées, les vrais MVP sont ceux qui savent manier les datas, comprendre les enjeux RSE, et parler aussi bien CRM que branding. Les clubs, les fédés, les agences et les startups du sport recrutent moins à l’instinct, et beaucoup plus au compétencemètre.
Voici les nouvelles compétences qui font gagner des points – et parfois des budgets – dans l’écosystème.
Longtemps réservée aux analystes tactiques et aux staffs sportifs, la data s’installe désormais au cœur des services marketing. On ne parle plus simplement de taux de remplissage ou de vues sur TikTok, mais de KPI actionnables, de modèles prédictifs, et de scoring d’engagement.
Selon une étude de Global Sports Jobs, 83 % des recruteurs du sport business estiment que la capacité à analyser des données est une compétence clé à horizon 2025. Et ce, que vous bossiez sur le CRM d’un club de Ligue 1 ou sur la billetterie d’un événement de volley.
Excel (vraiment), Power BI, Google Data Studio, notions de SQL, et surtout… la lecture stratégique des données. Un graphique sans décision derrière, c’est juste une jolie image.
En 2025, votre contenu a deux secondes pour capter l’attention. Et autant dire que c’est court. Le brand content, en particulier dans le sport, devient un jeu d’équilibriste mêlant authenticité, engagement communautaire et monétisation subtile.
Il ne suffit plus de poster la photo du vestiaire. Il faut raconter une histoire, maîtriser les codes de chaque plateforme, et savoir faire parler un maillot comme un personnage.
Storytelling digital, formats courts, stratégie éditoriale multicanale, culture meme, outils de production rapide (Canva Pro, CapCut, Notion pour planifier).
🧠 Bonus : comprendre la psychologie de l’audience Gen Z, qui lit peu mais ressent tout.
Pas un club, pas une fédé, pas une ligue sans sa stratégie RSE. Bonne nouvelle : ça ne reste plus coincé dans une plaquette PowerPoint.
Les compétences RSE s’opérationnalisent. On cherche des profils capables de décliner des engagements durables dans les activations de sponsoring, les achats, les événements. Et ce n’est plus un “plus”, c’est un must have.
Une étude menée par The Sustainability Report montre que près de 62 % des structures sportives européennes envisagent d’embaucher des profils spécialisés en développement durable d’ici fin 2025.
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Bilan carbone, écoconception d’événement, labels (ISO 20121, UNFCCC), reporting extra-financier, Diversité & Inclusion. Et, plus que tout : savoir faire ce que l’on dit.
À diplôme équivalent, c’est le relationnel, l'investissement bénévole - associatif, l'identité culturelle, la créativité et la capacité d’adaptation qui font la différence. Les structures sportives évoluent vite, les projets changent souvent de direction, et la transversalité devient la norme.
Les soft skills les plus recherchées ?
- Proactivité
- Proactivité
- Procactivité
- Et proactivité
💬 « Les profils qui savent bosser vite, bien, et avec le sourire, sont en or. » – Témoignage d’un directeur marketing d’un club de Top 14.
Sujet chaud. Très chaud. L’intelligence artificielle, loin de remplacer les talents, vient augmenter les capacités des équipes. Traduction : savoir briefer une IA, l’utiliser pour générer des insights, automatiser certaines tâches de com’ ou de planning, devient une compétence précieuse.
Prompts efficaces, ChatGPT, Midjourney, Notion AI, Runway, Synthesia. Mais toujours avec un esprit critique. Une IA ne remplacera jamais un vrai regard stratégique. Pas encore.
N’oublions pas l’indispensable : le nerf de la guerre reste les revenus. Que ce soit pour remplir un stade ou activer un sponsor, les profils capables de vendre, de négocier, et de structurer une offre sont en forte demande.
Mais là encore, la vente a changé. Finies les slides PowerPoint à rallonge. On parle d’offres packagées, de co-création avec les marques, et d’activation mesurable.
CRM, techniques de closing, gestion de portefeuille, et capacité à adapter son discours selon la marque en face. Oui, même quand c’est une DNVB de CBD pour cyclistes 🚴♂️.
La bonne nouvelle dans tout ça ? Ces compétences se cultivent. Mieux : elles se forment. Et de préférence auprès d’un organisme qui connaît vraiment les réalités du terrain sport business (on ne vise personne… 👀).
Le marché évolue, les métiers aussi. Se former, c’est garder une longueur d’avance sur les candidatures et surtout, rester crédible en réunion.